ENTERREMENT

Hier samedi, vers 17h30, vous savez les trois personnes dont je vous ai déjà parlé, que je ne connais pas, sont arrivées. Trois messieurs d'un chic. Mais là, ils étaient tous de noir vêtus en chemise blanche. Je me suis dit : un enterrement?

Tu commences à vieillir ma fille. Toi qui te croyais samedi. J'ai bien réfléchi. Non, c'était bien samedi. Alors ils ont commencé à parler que c'était dramatique,   mais j'ai pas compris quoi. Bien sûr, un enterrement c'est toujours dramatique. Et pourtant, il n'y avait pas d'enterrement. Il y en avait un qui regardait toujours sa montre et au bout d'un moment il a dit "bon, j'espère que Lucien va venir, il nous l'a promis sinon on pourra pas ouvrir. Et puis il faut que nous soyons à 19h à Narbonne". Ah bon, l'enterrement avait lieu à Narbonne. Ils sont bizarres ces gabaches. Un enterrement à 19h un samedi. 

Et alors celui qui regardait sa montre a dit: " quand même la gltso ça ne tourne pas rond chez eux. Ca a commencé avec Ste Anne.". Ah non, ils n'ont pas le droit de s'en prendre à la mère de Marie. Mais plus la conversation avançait, plus j'ai compris que ce n'était pas de la mère de Marie dont ils parlaient. La Super Mamie de Jésus Christ. J'écoutais et j'essayais de comprendre. 

En fonction des dates qu'ils donnaient, qu'ils ne parlaient pas de Cruella. Mais ils parlaient bien de Jean-Jacques et qu'à cette époque là, ce n'était pas un brigand. D'ailleurs, à l'époque, il était marié à une femme remarquable. Lucien est arrivé. Ils sont montés dans leur voiture et sont partis.

Je n'ai rien compris. Et je ne sais toujours pas ce qu'est cette gl...

COCORICO,