DICTATURE

Salséennes, Salséens,

Je viens de comrpendre pourquoi il y a quelques temps une paroissienne appelait notre maire sortant Pablo. Et nous parlait de la Colombie. Elle vient de revenir et je vous garantis que plus tolérante qu'elle, et plus chrétienne qu'elle, il n'y a pas. Pour que Jean-Jacques Lopez réussisse à la faire sortir de son naturel plein de gentillesse et de dévouement pour les autres; il faut vraiment qu'il en fasse....

La dernière qui vient de l'énerver au plus haut point, il menace la famille de certains co-listiers des listes d'opposition. Il menace le corps para-médical. Finalement, il menace toujours. Ce sont les laches qui menacent.

Jean-Jacques croit bien que dimanche, tu ne feras voter pas les morts. Quant à nos chers seniors de la maison de retraite, je veillerai à ce que ta néfaste influence et surtout tes menaces d'expulsion n'aient pas prises!

Salséennes et Salséens, nous venons de vivre 6 ans de torture, dimanche au premier tour délivrez-vous!

Encore hier soir, Christian Bourquin, salle des libertés à Perpignan, basait son discours sur le rassemblement (je le répète, ma copine de la cathédrale y était) sur l'union, l'égalité de tous et rapeller les devoirs d'un élu : d'être au service de ceux qui lui ont fait confiance. Quand je regarde la profession de foi où notre maire sortant ose avoir ses mains entre celles de Hermeline et Christian en photo, j'ai les plumes qui se hérissent comme les coqs au combat.

COCORICO,